Commencer par consulter le Hardware-HOWTO.
Mon processeur ne fonctionne pas correctement, que faire ?
Lire la section 4 du Hardware-HOWTO et ce document
P. Vannoni, X. Beaudouin, C. Turbout, H. Canon, B. Poulot-Cazajous, A. Levavasseur :
/proc/cpuinfo
;
halt
pour qu'il chauffe moins quand
il ne fait rien ;
f6x86-1.0.tgz
et ajouter /path/set6x86 0xc2 -s
0x88
dans rc.local
, afin d'armer le bit 3 (les autres bits
pouvant être différents d'une configuration à une autre). Voir aussi
set6x86.
Charger la keytable
appropriée (grâce à loadkeys
fr-latin1
, par exemple). Les tables se trouvent dans
/usr/lib/kbd/keytables/
.
Placer un stty pass8
dans le fichier ~/.bash_profile
.
Le fichier ~/.inputrc
doit contenir :
set meta-flag on
set convert-meta off
set output-meta on
Utiliser le cavalier ("jumper") ou le logiciel de configuration permettant d'invalider la gestion du « PNP ».
On peut aussi essayer d'employer les utilitaires PNP appelés
isapnptools
.
Les noyaux 2.2 gèrent mieux le PNP.
Pourquoi Linux n'utilise-t-il pas tous les processeurs de ma machine ?
Dans le cas où l'on utilise un noyau 2.0, il faut décommenter (enlever le
symbole #
) la ligne
#SMP=1
du fichier Makefile de la racine des sources du noyau, puis
le recompiler et l'installer.
Dans le cas où l'on utilise un noyau 2.2, il s'agit d'options de configuration
du noyau : répondre yes
à "Symmetric multi-processing support
"
et à "RTC support
". Stéphane Ecolivet ajoute : dans le cas où l'on
utilise une machine basée sur des processeurs Intel, il ne faut pas activer
l'APM (advanced power management), son comportement n'étant pas défini pour
les configurations multiprocesseurs.
Sous Red Hat invoquer « sndconfig ».
(Rédigé par J. Poincheval)
Alsa 0.41
J'ai compilé alsa-driver avec --isapnp=yes
Puis j'ai modifié /etc/conf.modules quasiment en copiant/collant l'exemple donné dans le fichier INSTALL (qui est pour une GUS PnP). J'ai uniquement ajouté les options pour utiliser les DMA 6 et 7 (par défaut la carte prenait des DMA 8 bits).
ensuite j'ai fait un modprobe snd-card-interwave.
enfin, aumix (pour monter le volume). pour utiliser aumix il faut bien entendu activer la compatibilté avec OSS, sinon compile alsa-util, il y a un mixer dedans: amixer).
puis play toto.wav.
Attention : certains .wav
ne passent pas, essayer avec aplay (du
paquetage alsa-util
).
apinit.exe
, puis de passer sous Linux avec loadlin
(solution non testée, mais qui fonctionne avec des jeux MS-DOS anciens).
Les noyaux 2.2 disposent de pilotes pour ces cartes (avec ou sans module).
Les pilotes ALSA (en développement) gèrent les deux cartes, avec Timidity
comme logiciel Midi.
Les pilotes OSS payants gèrent les deux cartes. OSS fournit SoftOSS pour la
musique Midi.
maxinit.exe
sous MS-DOS puis charger Linux grâce à
LOADLIN
AudioExcel
(après
application du patch de noyau AudioExcelDSP16-2.0.21.diff.gz
),
désactiver le test de l'IRQ dans le pilote ("driver") et lancer le petit
programme AudioExcelDSP
qui initialise l'IRQ, DMA, etc. ;Windows Sound System
. Patch pour MS 32
Maxisound32FX.
pnpdump >/etc/isapnp.conf
activer les péripheriques son ctrl et mpu401
activer si nécessaire le port joystick
dans le "rc.init" (varie en fonction des distributions) ajouter les lignes
suivantes si elles n'y figurent pas encore :
isapnp /etc/isapnp.conf
modprobe sound
modprobe midi
Ajouter les lignes suivantes au fichier /etc/conf.modules
:
alias sound cs4232
options cs4232 dma=1 dma2=0 io=0x534 irq=5
pre-install mpu401 /etc/sound/bin/94dinit "F=/etc/sound/Maxsnd64.bin"
alias midi mpu401
options mpu401 io=0x330 irq=9
Remarque : le firmware de ma carte est /etc/sound/Maxsnd64.bin
Ce firmware est récupéré de mon répertoire MS-Windows.
La commande 94dinit
sur trouve sur le
site de cyso (dans le fichier
stlinux.tgz
).
sb/sbpro
. La carte a besoin de recharger son microcode lors de
chaque démarrage, et ca n'est pas possible avec les pilotes Linux. Il faut
donc lancer le système sous MS-DOS, charger les pilotes de cette carte,
puis lancer Linux grâce à Loadlin.
Comment obliger Linux à gérer la carte SCSI AVA1505 ?
Sous MS-DOS ou MS-Windows :
Pendant la procédure d'installation Linux :
aha152x=0x140,9,7,1
(IO=140h, IRQ=9)Depuis un système Linux actif avec la commande (méthode bien pratique pour qui veut pouvoir librement allumer ou éteindre le scanner) :
insmod aha152x aha152x=0x140,12,7,1 # pour activer le logiciel pilote
rmmod aha152x # pour desactiver le logiciel pilote
Ma souris Microsoft à 2 boutons fonctionne mal
F. Chastrette écrit (19980424) :
Avez-vous vérifié tout ce qui est évident : utilisez-vous le bon
device
, le câble est-il branché, la souris fonctionne-t-elle sous
un autre système, etc.
Si vous avez une souris série à 2 boutons et si la panne n'est pas franche (il existe des façons de faire reconnaître la souris et à partir de ce moment elle fonctionne très bien jusqu'au redémarrage) lisez son étiquette car la version "Microsoft serial mouse 2.1A" présente ce problème.
Solution :
mice.c
)gpm -t pnp -R
Cela peut vous obliger à modifier l'un des scripts d'init
(/etc/rc.d/init.d/gpm
pour Red Hat) XF86Config
, déclarez la souris comme suit :
Section "Pointer"
Protocol "MouseSystems"
Device "/dev/gpmdata"
EndSection
G. Berger-Sabbatel note :
Tout ceci s'applique à la souris Intellimouse série, à un détail près : le type "pnp" donné à gpm ne permet pas l'utilisation de la molette comme 3ème bouton. Il faut donc en ce cas :
XF86Config
:
Les matériels conçus pour fonctionner exclusivement sous MS-Windows ne sont généralement pas exploitables sous Linux.
J. Mouette : Certaines imprimantes Windows Printing System, en particulier les Canon BJC-610 et 620, disposent de drivers au format uniprint, qui peuvent être utilisés sous Linux grâce à la version non-free de ghostscript ((livrés dans le package gs-alladin).
J'ai un problème avec une carte réseau 3C509 pnp. La carte est bien détectée, mais elle n'est pas activée.
Sous MS-DOS ou MS-Windows :
Pendant la procédure d'installation Linux indiquer au programme le nom de votre carte et la détection de l'adresse et de l'IRQ se fera automatiquement.
Depuis un système Linux actif utiliser la commande modprobe
3c509.o
.
Les logiciels xcdroast
et cdrecord
permettent de piloter
des graveurs de CD.
Mon horloge système avance ou retarde, que faire ?
D. Madore :
Linux garde son horloge à jour en fonction du générateur de fréquence de
ton ordinateur (qui produit des IRQ0). Pour peu qu'il ne soit pas
excellent, l'horloge se dérègle rapidement.
Si ton horloge CMOS (qui est complètement indépendante) est meilleure, tu
n'as qu'a demander à cron
d'exécuter clock -a
toutes les heures (ou clock -au
si l'horloge CMOS est à l'heure GMT).
Tu peux obtenir encore une meilleure précision en corrigeant une éventuelle
dérive de l'horloge CMOS dans /etc/adjtime
. Cf. man 8 clock
pour tous renseignements utiles.
Note : sous certaines distributions un hwclock
, aux options un peu
différentes, remplace clock
.
Note : le problème de décalage d'horloge peut être lié à l'utilisation d'un noyau 2.0 avec une machine ayant plusieurs processeurs Intel. L'utilisation d'un noyau 2.2 devrait résoudre le problème.
L'utilisation d'un logiciel type rdate ou xntp, conjuguée à un serveur de temps, peut être utile dans le cas d'un réseau local ou départemental.
Alors que mon système ne fait rien et que je n'ai quasiment pas de processus qui tournent, la commande 'free' indique que quasiment toute ma mémoire est utilisée !
O. Tharan :
C'est normal. Linux utilise la mémoire pour plusieurs choses. Tout d'abord
pour le noyau lui-même, évidemment, c'est de la mémoire irrécupérable pour
autre chose ; ensuite, la mémoire utilisée par les applications ; et puis
tout le reste, en mémoire cache disque (dite "buffer cache").
La mémoire cache, c'est ce que le système a utilisé à un moment et n'utilise plus. Mais, il se pourrait que les données (programme, fichier) soient demandées par l'utilisateur d'ici peu, alors au lieu d'aller les rechercher sur le disque, on va chercher ces données dans la mémoire cache, ce qui est beaucoup plus rapide.
Linux utilise donc le maximum de mémoire disponible pour en faire du cache, mais s'il s'avère qu'une application a besoin de plus de mémoire, il libère une partie de la cache pour l'application. Donc, rien n'est perdu et tout le monde est satisfait. Avec un peu de recul, on comprendra qu'il n'est pas inutile d'investir dans de la RAM : plus on en aura, plus le système disposera de cache, et plus il paraîtra rapide (il faut mettre un bémol à ceci, car les performances se dégradent si on augmente la RAM sans augmenter par ailleurs le cache processeur).
Le test ultime pour vous faire prendre conscience de ceci : démarrez, lancez X puis Netscape ; quittez et relancez Netscape et vous constaterez la différence de vitesse.
Document signal 11