En tous cas, considérons Crédits fournisseurs. Après
tout, nous ne devrions à vrai dire avoir besoin de rien raconter
sur les D/F parce que nous payons toujours nos factures à
temps, n'est ce pas ? :-)
Aussi comme première considération, allons et supposons que nous ne demandons pas aux clients de payer instantanément, en liquide, mais plutôt envoyons leur une facture, et donnons leur 30 jours pour payer les factures. (Après 30 jours, nous pouvons commencer à faire payer des intérêts et leur envoyer des lettres de harcèlement :-)).
Quand nous faisons une vente, les deux comptes affectés sont les Ventes (un compte revenus) et Crédit fournisseurs. Crédit fournisseurs est un avoir, mais il n'est pas liquide, comme vous ne pouvez pas volontairement le vendre, et il n'est pas forcément en espèces/argent comptant.
Alors quand ils réusissent à payer leurs factures, déposant un gros sac de vingt dollars de factures,(ou, plus probablement, un chèque) nous transférons le montant depuis Crédit fournisseurs vers Liquidités.
La raison pour laquelle nous le faisons en deux étapes est que nous avons decidés de faire notre comptabilité sur une base d'accumulation et non sur une base de liquidités, parce que la plupart de nos transactions ne sont pas seulement basées sur un changement de main de liquidités, mais plutôt basé sur l'établisement d'obligations, ce sont des engagements.
Dans des opérations plus sophistiqués, il peut y avoir une plus large séquence de documents générés et suivis:
Afin de determiner quelles parts de Crédit fournisseurs apparait être à plus de risque, il est typique d'arranger les Crédits fournisseurs basé sur les "ages" des débits, généralement en le segmentant en plusieurs periodes d'ages différents, de paiements qui sont en cours de règlement de 0-30 jours, ceux qui sont en cours de règlement de 31-60 jours, puis 61-90 jours, et ensuite ceux qui n'ont pas été payés à l'échéance.
A un certain point, il peut devenir clair qu'un client ne va jamais aller payer ce qu'il doit, et nous devons l'inscrire comme un Mauvais débiteur.
A ce point, il est typique d'enregistrer une entrée ainsi:
Compte | DR | CR |
---|---|---|
Dépense mauvais débiteurs | 10,000F | |
Crédit fournisseurs | 10,000F |
Nous pouvons avoir Revenus de ventes réduits à la place, mais les sociétés tendent à préférer specifiquement le suivi de montants qu'ils ont perdus avec de mauvais clients.
Attention: Concept de comptabilité avancée.
Les dettes perdues / créances douteuses sont un exemple d' un "contre-compte."
Qui ne se réfère pas au montants payés aux
rebelles nicaraguyens (ndt:!!!) , mais plutôt à la notion
que le compte est un compte de revenus qui espère conserver un solde
opposé à ce qui est normalement espéré, pour
annuler le solde dans un autre compte de revenus. La
dépréciation accumulée , utilisée pour
diminuer la valeur d'un avoir au cours du temps, est un autre exemple de
contre-compte.
Si vous devez payer six mois de loyer en avance, c'est traité comme un "avoir accumulé."
Tandis que celà impose un malheureux préjudice dans
le compte de Liquidités, il apparait sur les livres comme
un avoir, et il n'y a pas plus de paiements à faire pour les six
prochains mois.
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